Dans une révélation faite au New York Times, le sélectionneur des Lions Indomptables, Marc Brys, a affirmé avoir inclus une clause unique dans son contrat : interdire au président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Samuel Eto’o, d’accéder au vestiaire. Cette exigence vise à préserver l’autonomie et l’intimité de l’équipe dans un espace crucial pour la cohésion et la performance.
“Le vestiaire, c’est ma maison”
Dans l’entretien accordé au prestigieux journal américain, Marc Brys a expliqué sa démarche :
« Dans le passé, les gens entraient dans le vestiaire, alors je l’ai bloqué dans mon contrat. C’est ma maison, la maison des joueurs, un lieu où ils doivent se sentir en sécurité et libres de parler de tout. C’est un bien meilleur environnement. »
Cette décision tranche avec certaines pratiques antérieures où les interventions extérieures pouvaient perturber la dynamique interne de l’équipe.
Un engagement total pour les performances des Lions
Malgré les défis rencontrés dans son rôle, Marc Brys reste concentré sur son objectif principal : obtenir des résultats pour les 30 millions de Camerounais qui soutiennent les Lions Indomptables.
« Nous devons être performants et nous le serons. Quand nous gagnons, c’est une fête nationale. C’est beau à voir et c’est notre mission de rendre cela possible, » a-t-il déclaré.
Le technicien belge insiste également sur l’importance de se concentrer sur le travail, sans se laisser distraire par des « choses extérieures » qui pourraient saper son énergie.
Une vision claire et ambitieuse
Marc Brys prône un esprit d’amélioration continue et de respect au sein de l’équipe :
« Je veux que mon équipe progresse et continue à se respecter. Nous devons toujours chercher à nous améliorer, tout en restant concentrés sur l’essentiel. »
Cette approche pragmatique et rigoureuse semble destinée à établir une nouvelle dynamique au sein des Lions Indomptables, en vue de performances à la hauteur des attentes nationales.
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