Une polémique éclate autour de SUNRUN, une entreprise opérant dans le domaine de l’énergie solaire, qui est accusée d’avoir détourné 20 milliards de francs CFA au Cameroun. Ces fonds, initialement destinés à des projets de développement dans le secteur de l’énergie renouvelable, auraient été utilisés à des fins non justifiées, selon des sources proches de l’enquête.
Des soupçons sur la gestion des fonds
Le scandale a éclaté suite à un audit commandé par des autorités locales et des partenaires financiers internationaux. L’analyse des comptes de SUNRUN a révélé des irrégularités majeures, notamment des contrats fictifs, des factures gonflées, et l’absence de plusieurs infrastructures promises dans le cadre des projets financés.
Une enquête en cours
Les autorités camerounaises ont lancé une enquête pour faire la lumière sur ces accusations. Des membres de la direction de SUNRUN auraient déjà été entendus, et certains documents financiers ont été saisis dans le cadre de l’investigation.
Réaction des parties prenantes
De leur côté, des représentants de SUNRUN nient catégoriquement ces allégations, évoquant un malentendu ou une campagne de déstabilisation orchestrée par des concurrents. « Nous respectons toutes les obligations légales et sommes prêts à coopérer pleinement avec les autorités pour démontrer notre bonne foi, » a déclaré un porte-parole de l’entreprise.
Impact sur l’économie locale
Cette affaire soulève des inquiétudes quant à la transparence dans la gestion des financements liés aux énergies renouvelables, un secteur crucial pour le développement économique et écologique du Cameroun. Les populations concernées par les projets annulés ou inachevés expriment leur colère, réclamant des comptes.
Un précédent qui inquiète
Ce scandale pourrait avoir des répercussions sur la confiance des investisseurs internationaux envers le Cameroun, alors que le pays s’efforce d’attirer davantage de capitaux étrangers pour ses projets de développement.
Tags : SUNRUN, détournement de fonds, Cameroun, énergie solaire, enquête, corruption, développement durable, transparence financière, financement international, économie camerounaise.