Avant Fortnite il y avait… le Solitaire. Ce jeu de cartes qui fut intégré par défaut dans Windows 3.0 en 1990 fête aujourd’hui ses 30 ans. Et s’il n’a pas autant de joueurs que le célèbre shooter d’Epic Games, il revendique toujours plus de 35 millions de joueurs par mois dans plus de 200 pays, selon Microsoft. Chaque jour, plus de 100 millions de « mains » sont jouées dans 65 langues différentes, ce qui en fait l’un des jeux les plus joués au monde – même s’il y a sans doute très peu de canaux Twitch qui lui sont dédiés !
Outre le fait qu’il soit simple à jouer et basé sur des cartes connues de tous, la première grande force du Solitaire est d’avoir été gratuit : jusqu’à l’arrivée de Windows 8 en 2012, Solitaire a toujours été intégré à Windows. Ce qui ferait que plus d’un milliard de PC ont été livrés avec le jeu préinstallé. Un jeu qui a été développé par Wes Cherry, un développeur qui était alors un simple stagiaire chez Microsoft.
Désormais disponible en le téléchargeant gratuit dans le Windows Store, mais aussi sur iOS et Android, le Solitaire entend célébrer dignement son trentième anniversaire et Microsoft invite les joueurs à battre le record du plus grand nombre de mains jouées en une seule journée. Fortnite a beau être plus joli, nous verrons bien combien de joueurs y joueront encore en 2050 !
Source : The Verge
Le groupe de pirates chinois Winnti, alias APT41, reste fidèle à lui-même et continue de jouer à la fois sur le tableau de l’espionnage gouvernemental et du piratage crapuleux. Les chercheurs en sécurité Mathieu Tartare et Martin Smolar, de la société Eset, viennent de détecter une nouvelle porte dérobée dans l’arsenal de ce groupe. Baptisée PipeMon, elle s’installe durablement sur Windows sous la forme d’un processeur d’impression, qui — comme le spouleur et le gestionnaire — est l’une des principales briques fonctionnelles du système d’impression dans cet OS.
Les pirates ont utilisé cette porte dérobée pour s’attaquer à des éditeurs de jeux massivement multijoueurs, situé en Corée du Sud et en Taïwan. Dans un cas au moins, elle a permis d’infecter des serveurs de développement, ouvrant la porte à la diffusion de jeux vérolés certifiés par l’éditeur. Dans un autre cas, les chercheurs ont trouvé le malware sur des serveurs de jeux, permettant de manipuler leur déroulement et, probablement, d’effectuer des fraudes sur les monnaies virtuelles.
Ces deux axes d’attaques sont en effet des spécialités de Winnti, qui ciblent le secteur du jeu vidéo depuis au moins 2012. Selon FireEye, ces hackers s’adonnent à l’espionnage en journée, et à la fraude dès que le soleil est tombé. Plus récemment, le groupe s’est fait remarquer par le piratage des serveurs de CCleaner et d’Asus.
Source : Eset
La licence américaine de China Telecom bientôt révoquée. La bataille qui oppose l’administration Trump et les sociétés chinoises prend une nouvelle tournure après l’annonce de la révocation prochaine de la licence d’opérateur de China Telecom. Le ministère de la Justice américain a annoncé la semaine dernière que l’administration Trump comptait révoquer et résilier les licences de l’opérateur mobile chinois. Ce dernier est autorisé à fournir des services de communications, de données, de télévision et d’affaires aux États-Unis en vertu de ce qu’on appelle les autorisations internationales (article 214). Une instruction entend montrer que China Telecom est en violation des lois fédérales et étatiques américaines sur la cybersécurité et la vie privée, mais les preuves sont inaccessibles puisque censurées.
Rubrik met la main sur Opas AI. Après avoir indiqué que son son année fiscale 2020 s’était close avec plus de 2500 clients, Rubrik annonce l’acquisition de la start-up Opas AI, spécialisée dans l’automatisation des infrastructures. L’objectif de l’opération est d’améliorer l’utilisation de l’intelligence artificielle dans les solutions multicloud. Fondée en 2017 à Mountain View par Gurashish Brar et Mohit Gupta, Opas AI a développé un moteur de causalité basé sur l’IA qui utilise un ensemble de modèles statistiques et d’apprentissage automatique pour comprendre et modéliser les paramètres comportementaux des applications et de l’infrastructure sous-jascente.
Le ray-tracing en bêta test chez Minecraft. À partir du 16 avril, les amateurs de Minecraft disposant d’une carte graphique RTX pourront expérimenter la qualité de ce rendu. Microsoft et Nvidia ont travaillé de concert pour exploiter DirectX 12, qui supporte le ray-tracing, sur Minecraft. Le jeu a un look très différent grâce à la puissance de calcul de la carte graphique de Nvidia. Ce dernier explique ajouter le ray tracing également aux objets physiques, permettant à la lumière, aux réflexions et aux ombres de rebondir sur les objets du jeu.
source:lemondeinformatique.fr
Le tant attendu Animal Crossing New Horizons arrive officiellement sur la Nintendo Switch ce vendredi 20 mars et on a pu passé quelques temps avec Tom Nook et tous ses amis. Verdict !
Une terre isolée au milieu des flots, des animaux anthropomorphes, de la collecte d’échantillons divers, cet Animal Crossing nouveau a tout d’une adaptation parfaite de l’Île du Docteur Moreau. En plus inquiétant. Parce qu’ici règne un monarque implacable, le fric. Plongée dans le capitalisme à la cool.
Animal Crossing a désormais quelques années d’existence. Débutée sur Gamecube, la série était à l’époque un outsider totale, sortie de nulle part et amenant une nouvelle rythmique dans la façon même d’appréhender le jeu vidéo. L’idée était de donner le sentiment du temps qui passe, de l’arrivée des
saisons, de la contemplation simple des modifications quotidiennes. Le jeu se calait donc sur la vie de chacun, et il fallait alors s’adapter, ne plus voir l’activité jeu vidéo comme une liberté totale. Avec le temps, cette approche s’avère moins originale aujourd’hui, mais Animal Crossing New Horizons conserve tout de même cette étrangeté rare. Son souci, c’est de savoir comment se réinventer et sortir d’une vision extérieure parfois biaisée, qui le perçoit comme un Sims avec des bestioles pour enfants. Ce qui n’est, en un sens, pas faux, mais réduit tout de même sa proposition. Le jeu de Nintendo peut se voir davantage comme le destin combiné du joueur et d’un environnement. En tant qu’habitant, puis “créateur”, chacune de nos actions modèle ce qui nous entoure, donne du corps à une île aux multiples possibilités.
Et c’est cette façon d’interagir avec elle qui est au coeur du game design d’Animal Crossing New Horizons, empilement d’activités comme autant de pages tournées dans une vie. C’est à la fois ce qui crée une réelle fascination pour le jeu et forme une barrière infranchissable pour de nombreux joueurs qu’il est important de prendre en compte. Car l’aventure proposée est personnelle, elle demande de se perdre littéralement dans une temporalité unique, aux tâches insignifiantes. Sous son enrobage de bonbon, cet Animal Crossing, comme ses prédécesseurs oblige une implication forte du joueur, parfois plus profonde que dans certains jeux autrement plus punitifs ou abscons. Facile d’y rentrer, parfois difficile d’y rester en somme.
Une journée type d’Animal Crossing se compose de plusieurs activités à effectuer en fonction des envies, des besoins, et des impératifs vitaux. Ce dernier cas régit en résumé toute la vie du joueur et s’incarne dans Tom Nook et ses sbires sous la forme d’une notion déjà très présente dans notre vie de tous les jours, l’argent. Même s’il est possible d’obtenir un grand panel d’éléments par de l’artisanat, apport principal du jeu, une grande part de la progression passe par l’économie locale. Acquérir des clochettes, le plus souvent destinées à rembourser les prêts octroyés par ce bon vieux Nook pour bâtir sa maison et l’agrandir notamment, est l’objectif sous-tendant tout le reste. Collecter des insectes se révèle utile pour le musée, ramasser des fruits peut permettre d’acquérir un sursaut d’énergie, pêcher des poissons donne l’opportunité de décorer son intérieur avec un aquarium, certes. Et cette variété d’utilisation de chaque chose est une des forces du jeu. Mais une fois des coquillages déjà ramassés, des fossiles déjà déterrés, chaque exploration a pour but la vente. Chaque journée a donc tendance à se ressembler, scindée entre quelques – nouvelles – découvertes, et une majeure partie de ramassage de tout ce qui traîne pour se faire de l’argent. Occupation vite limitée que Nintendo a tenté de désamorcer par l’intégration d’une sorte d’équivalent de challenges journaliers hérités des “free to play”. Ces missions – collecter x insectes, couper x morceaux de bois, etc – permettent de récolter des Miles, monnaie secondaire utile pour récupérer quelques améliorations intéressantes et un billet d’avion bien utile. Celui-ci vous permet de vous rendre sur une autre île, non habitée par un joueur, et de rencontrer de possibles nouveaux personnages à inviter sur votre îlot ou de glaner quelques bestioles/éléments inédits. De quoi épicer un tantinet le morne quotidien, même si cette dérivation tourne plutôt vite en rond, surtout si vous choisissez de jouer plusieurs heures d’affilées. En effet, le cycle des tâches n’est pas très étendu, et il est aisé de retomber sur la même action à effectuer.
Débloquée sur le tard, la Terraformation offre un agréable contournement à cette boucle de milieu de jeu, autorisant le joueur à créer non plus quelques cannes à pêche mais son île entière. Les journées se montrent alors plus chargées, c’est un fait, mais surtout de façon plus ludique. Les possibilités explosent via la transformation des terres, et la “collectionnite aigüe” de base tend à prendre un peu moins de place pour favoriser la créativité. Et ce même si cet aspect possède déjà une part importante dans le plaisir de jeu, via la personnalisation de sa maison et la liberté d’organiser le paysage comme bon vous semble en ajoutant des arbres, des bâtiments, des jeux et autres décorations. Et c’est exactement ce qu’est Animal Crossing New Horizons, une autre journée possible. Comme une dimension parallèle dans laquelle les tâches importantes sont remplacées par d’autres plus futiles, et où les heures passent de la même manière, à la fois pénibles ou excitantes. Ce qui rend le jeu difficile à appréhender la majeure partie du temps, mais lui donne ce supplément de vie, ces moments fugaces de beauté, dont il a l’entière exclusivité.
Pas suffisant pour en faire un grand jeu vidéo, mais assez pour lui donner une importance dans le domaine, celle de la patience dans la création. D’autant qu’avec ses placements du personnage imprécis, ses angles de caméra souvent problématiques, et ses multi-confirmations de l’angoisse dans les échanges, il y avait de quoi s’énerver. C’est au contraire le sourire aux lèvres que l’on replonge, par petites sessions, dans ce monde étrange et mignon, version Gulli du capitalisme. Il est sans doute normal de se gausser de cet univers très acidulé au début de sa partie, puis vient le moment où l’on attend avec impatience son nouveau lit. À ce moment, la perte est proche, mais la sanction plutôt douce.
source:https://www.journaldugeek.com
Attendue pour la fin de l’année, la PlayStation 5 promet une expérience mémorable grâce à une fiche technique à la pointe de la technologie et à la hauteur de celle de sa rivale, la Xbox Series X. Une puissance brute de 10.28 TFLOPs, un système audio 3D, un SSD de 512 Go avec des débits de 5.5 Go/s qui réduiraient drastiquement le temps de chargement, une manette DualSense travaillée pour renforcer l’immersion, la prochaine console de Sony a de quoi faire rêver sur le papier. Nous avons regroupé toutes les informations officielles mais aussi les rumeurs les plus crédibles au sujet de cette nouvelle PlayStation.
Sony a dévoilé en mars dernier l’architecture de sa prochaine console. Dans les grandes lignes, la PS5 embarque un processeur AMD Ryzen Zen 2, d’un GPU AMD RDNA 2, de 16 Go de RAM GDDR6, d’un SSD de 825 Go et d’un lecteur Blu-ray 4K UHD. Elle embarquerait également un tout nouveau moteur audio 3D qui permettrait de jouir d’un rendu sonore sans précédent. Enfin, Sony a confirmé la rétrocompatiblité de sa console avec les jeux PS4. Les plus populaires d’entre eux seront jouables à sa sortie. Le catalogue de jeux sera enrichi par la suite. Nous ne savons pas si cette rétrocompatibilité concerne aussi les jeux PS3, PS2 et PS1.
C’est en avril que le constructeur japonais a décidé de nous en dire plus sur la manette qui accompagnera la PS5. Baptisée DualSense, elle intègre des gâchettes L2 et R2 adaptatives ainsi qu’un nouveau système de vibration. Sony promet également une meilleure autonomie. Cette manette est actuellement dans les mains des développeurs qui, on l’espère, parviendront à exploiter toutes ses nouveautés.
Sony a confirmé la date de lancement de sa console sur sa page officielle. Elle sera commercialisée pour les fêtes de fin d’année 2020 comme la prochaine Xbox de Microsoft.
La fiche technique de la prochaine console de Microsoft a également été officialisée. L’occasion pour nous de la mettre face à la proposition de Sony.
PlayStation 5 | Xbox Series X | |
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Processeur | 8x Zen 2 Cores cadencés à 3.5 GHz | 8x Zen 2 Cores cadencés à 3,6 GHz |
Graphique | 10.28 TFLOPs, 36 CUs à 2.23 GHz | 12 TFLOPs, 52 CUs à 1.825 GHz |
RAM | 16 Go GDDR6 / 256-bit | 16 Go GDDR6 SDRAM |
Stockage | 512 Go SSD | 1 To NVME SSD |
Lecteur optique | Blu-ray 4K | Blu-ray 4K |
Résolution maximale | 8K | 8K |
Frame rate max | Jusqu’à 120 images/sec | Jusqu’à 120 images/sec |
Manette | Retour d’effet haptique, gâchettes adaptatives, USB-C | Nouveau bouton directionnel / touche « partager » |
Réalité virtuelle | Oui | Probable |
Service cloud | PlayStation Now | Microsoft xCloud |
Rétrocompatibilité | Jeux PS4 | Xbox One et certains jeux Xbox 360 et Xbox |
Titres dispo au lancement | Inconnu à ce stade | Halo Infinite |
Date de sortie | Noël 2020 | Noël 2020 |
Si Sony a évoqué la rétrocompatibilité PS4 de sa PS5, aucun jeu destiné à sa nouvelle console n’a été annoncé pour le moment.
Jeffrey Grubb du site Venture Beat mise sur une présentation de la nouvelle console de Sony le 4 juin prochain.
Si l’on se fie au teaser du numéro de juillet de l’OPM (Official PlayStation Magazine), Sony pourrait lever le voile sur sa PS5 avant le mois de juin.
Le coût élevé des composants nécessaires pour produire la PS5 obligerait à Sony à limiter la production pour ne pas impacter sa marge.
D’après un membre du forum NeoGAF, Sony développerait une version « Pro » de sa PS5. Celle-ci afficherait une puissance brute de 12 TFLOPs. Microsoft aurait la même stratégie.
Le kit de développement de la PS5 a beaucoup fait parler de lui. En cause, un look très original avec un design acéré en V et des bords arrondis. Il y a cependant très peu de chances que la version finale commercialisée par Sony lui ressemble. Sur plusieurs croquis circulant sur le web et une image partagée par un blogueur, celle qui pourrait être la console du fabricant japonais présente un design en X.
source:https://www.cnetfrance.fr
Bonne nouvelle pour les utilisateurs de Stadia -dont la version Pro est gratuite en ce moment- le jeu de battle royale PLAYERUNKNOWN’S BATTLEGROUNDS, plus communément surnommé PUBG, leur est accessible gratuitement. Lors d’une conférence Stadia Connect diffusée le 28 avril, Google a annoncé l’arrivée du plus célèbre rival de Fortnite sur sa plateforme.
L’autre bonne nouvelle de ce Stadia Connect est l’arrivée de FIFA. Le jeu le plus vendu chaque année était absent de Stadia à son lancement malgré un partenariat entre EA et Google, ce qui avait étonné de nombreux commentateurs. En effet, quoi de mieux que ce jeu ultra simple pour illustrer les avantages de la portabilité du cloud gaming ? N’espérez néanmoins pas jouer à FIFA dans les prochains jours, il faudra attendre… cet hiver. FIFA 21 devrait donc sortir sur consoles et PC cet été et débarquer sur Stadia plus tard.
Parmi les autres arrivées EA sur Stadia, Star Wars Jedi Fallen Order et Madden NFL arriveront aussi en fin d’année. Enfin, Google annonce l’arrivée de sept nouveaux jeux dont Octopath Traveler et Get Packed dès aujourd’hui.
Avec ces ajouts, Stadia étoffe son catalogue que l’on sait souvent critiqué. Il lui manque encore de nombreux jeux pour devenir incontournable mais l’arrivée d’un PUBG ou d’un FIFA ne peut rendre le service que plus attractif.
Sony a déposé auprès des autorités américaines en octobre 2018 un brevet concernant une technologie qui permettrait de limiter les fuites précédant la sortie des jeux sur les consoles de la marque. Le dispositif finalement enregistré le 23 avril dernier est décrit comme « un service multi-plateformes de blocage des spoilers ». Il pourrait équiper la future PS5 du géant japonais, estime le média spécialisé Inverse.
Les titres-phares de la console – dont la commercialisation est prévue pour les fêtes de fin d’année – pourraient ainsi éviter les mésaventures connues par les jeux plus récents. Les éléments-clés de plusieurs titres fuitent en effet régulièrement sur le web bien avant la mise en vente des jeux concernés. Des détails du scénario, des solutions et des informations sur la jouabilité et les moments importants de The Last of Us Part 2 ont par exemple été partagés sur les réseaux sociaux, ce mardi.
Pour tenter de mettre fin à ce phénomène très dommageable, Sony a eu l’idée de créer un filtre que le joueur est libre d’activer. L’outil répertorie les différents éléments d’un jeu que le gamer a déjà rencontrés. Lorsque l’utilisateur surfe sur Internet en utilisant sa console Sony, le dispositif bloque automatiquement tout contenu qui lui révélerait des informations ou lui ferait découvrir des étapes qu’il ne connaît pas déjà, rapporte Inverse. Mais ce n’est valable que sur sa PS5.
Outre les spoilers, le filtre permettrait aussi aux joueurs ayant débuté une aventure plusieurs mois après sa sortie de garder le plaisir d’une progression sans aide. Sony espère que cet outil encouragera les utilisateurs à mettre en ligne davantage de contenu personnel concernant les jeux de la Playstation.
source:https://www.20minutes.fr
Ubisoft a donné aux fans d’Assassin’s Creed ce qu’ils voulaient ce matin: un premier aperçu de la prochaine entrée sur le thème des Vikings de la série, Assassin’s Creed Valhalla. Avec un peu d’aide du graphiste BossLogic, nous avons pu voir des illustrations officielles prendre vie sous nos yeux. Cela semble beaucoup plus long que ce que quiconque espérait probablement, mais un bon art prend du temps, même si ce n’était peut-être pas le meilleur moyen de faire monter la température des joueurs.
La bande-annonce de la première mondiale devrait faire ses débuts demain 30 avril à 8h PT / 11h HE.
Star Wars Battlefront 2 a été un peu désastreux lors de son lancement, mais EA et le développeur DICE ont fait du bon travail pour soutenir et améliorer le jeu depuis deux ans et demi. Malheureusement, toutes les bonnes choses doivent cesser et Battlefront 2 recevra sa dernière mise à jour majeure demain.
La mise à jour de Battle on Scarif de Star Wars Battlefront 2 ajoute l’emplacement tropical de la finale de Rogue One, qui peut être joué dans les modes Supremacy, Heroes vs. Villains, Co-op et Instant Action. De plus, de nouvelles cartes, y compris Hoth, Death Star II, Tatooine et Yavin 4, peuvent désormais être jouées en mode Supremacy, Crait peut maintenant être joué en HvV, et toute une série de nouvelles apparitions de héros, de méchants et de soldats sont désormais disponibles.
Voici un aperçu complet du nouveau contenu inclus dans la mise à jour de Battle on Scarif:
Nouvelles planètes de suprématie, y compris Scarif
La liste des planètes Supremacy pour l’ère de la rébellion est dirigée par le retour de Scarif, une planète sur laquelle nous savons que vous êtes incroyablement excité de vous aventurer. Rejoindre Scarif sera également une série de lieux emblématiques d’Age of Rebellion; Hoth, Death Star II, Tatooine et Yavin 4. Chacun de ces emplacements arrivera également en action instantanée, rendant l’expérience Age of Rebellion Supremacy disponible hors ligne et en ligne.
Crait Heroes vs. Villains
Heroes Vs. Les méchants recevront une nouvelle planète en avril, alors que la bataille entre l’obscurité et la lumière atteint la planète minérale salée de Crait. C’est l’un de nos emplacements HvV les plus demandés à ce jour, donc c’est vraiment excitant de le mettre en mode jeu. La zone de combat sera concentrée à l’intérieur du hangar principal, avec les portes anti-souffle ouvertes, laissant entrer le coucher du soleil à l’extérieur.
Mises à jour coopératives
Nous continuons à voir d’excellents commentaires autour de Co-Op et cela a été merveilleux de regarder les réactions, les clips de gameplay et de lire vos commentaires sur la dernière mise à jour, qui a amené le mode de jeu dans l’ère de la rébellion. Dans la continuité de ce thème, nous ajoutons Scarif à la liste des emplacements Age of Rebellion disponibles, et il rejoindra tous les emplacements existants dans la rotation de la carte.
En janvier, nous avons sorti le MC85 Star Cruiser et le Resurgent-Class Star Destroyer dans le cadre de la configuration Supremacy pour l’Âge de la résistance. Les commentaires que nous avons reçus sur ces deux Capital Ships étaient incroyablement positifs. À la suite de cela, nous avons pris la décision de les amener à Co-Op en tant qu’endroits autonomes. Vous trouverez à la fois le MC85 Star Cruiser et le Resurgent-Class Star Destroyer dans la rotation de la carte Age of Resistance. Avec cette mise à jour, nous renommerons les missions coop en coop.
Missions d’action instantanée
Avec la positivité et la réception entourant Instant Action, nous avons décidé de l’étendre davantage, apportant une nouvelle option au jeu hors ligne. Les missions d’action instantanée sont basées sur l’expérience multijoueur en coopération, vous permettant de jouer avec 3 alliés IA amis et d’affronter une équipe ennemie composée d’IA à l’aide de nos missions coopératives existantes. La sélection de faction sera possible, permettant à la fois d’attaquer et de défendre les options de gameplay et le mode sera pris en charge par chaque emplacement Co-Op que nous avons dans le jeu, sur les 3 époques.
Apparitions de cavalier
Lorsque nous avons annoncé votre retour à Scarif, l’une des demandes les plus importantes que nous avons commencé à voir entourait les apparitions de Shoretrooper. Dans cette mise à jour, nous sommes heureux de confirmer que les soldats auront de nouvelles apparences basées sur la configuration de Shoretrooper. Les membres de l’Empire auront leurs apparitions Shoretrooper, tandis que la rébellion aura accès à leurs variantes Pathfinder.
Apparitions de héros
Dark Maul a été un héros qui, en termes de nouvelles demandes d’apparition, a toujours été l’un des plus éminents, c’est pourquoi nous sommes incroyablement heureux d’annoncer qu’il aura une apparence basée sur Star Wars Rebels à sa disposition, complète avec des jambes robotiques.
En décembre, nous avons apporté trois apparitions Star Wars: The Rise of Skywalker au jeu, pour Rey, Kylo Ren et Finn. Nous avons deux autres en cours de route, et si vous n’avez pas encore vu Star Wars: The Rise of Skywalker, le prochain paragraphe comprend SPOILERS…
La première apparition de Star Wars: The Rise of Skywalker est basée sur Rey avec sa capuche baissée et avec son nouveau sabre laser jaune. La seconde de ces nouvelles apparitions appartient à l’empereur Palpatine, et sera concentrée autour de ses robes rouges. Nous avons également une nouvelle apparence pour le côté obscur qui arrive dans la mise à jour de ce mois-ci: Kylo Ren avec sa capuche relevée.
Si vous souhaitez connaître toutes les corrections de bugs et les ajustements de gameplay inclus dans la mise à jour de Battle on Scarif, vous pouvez consulter les notes de mise à jour complètes et non abrégées ici .
Star Wars Battlefront 2 est maintenant disponible sur PC, Xbox One et PS4. La mise à jour de Battle on Scarif sera publiée demain (29 avril).
source:https://wccftech.com
Alors que le Game Boy de Nintendo vient tout juste de fêter ses 30 ans, voilà l’occasion de revenir sur un jeu relativement méconnu de la console de Nintendo : Kid Dracula. Véritable gage de qualité à l’époque, le titre était signé Konami, dont la besace était alors remplie de jeux extraordinaires, disponibles en arcade, mais également sur nos consoles de salon (et de poche, donc).
An de grâce 1993. La Super Nintendo fait, depuis quelques années déjà, le bonheur des amateurs de jeux vidéo, avec quelques hits comme Super Mario World ou Super Castlevania IV. La série phare de Konami, initiée sur Famicom Disk System en 1986, offre alors aux joueurs un opus 16 bits aujourd’hui encore assez inoubliable.
Les années 90 sont également l’occasion pour Konami de laisser s’exprimer tout son sens de l’autodérision. On connaissait déjà le très loufoque shoot’em up Parodius, mais voilà que déboule en France, sur Game Boy, un certain Kid Dracula, déclinaison ou suite de poche du titre éponyme paru sur Famicom quelques années auparavant.
Un titre parodique et décalé faisant directement référence à Castlevania, qui reste culte aujourd’hui encore, et qui était alors particulièrement prisé (comprenez « très cher sur eBay ») sur la console portable de Nintendo.
Côté scénario, on l’a dit, ce Kid Dracula se veut une « parodie » de Castlevania, et fait donc la part belle à l’humour. La plaisanterie est ainsi omniprésente tout au long de l’aventure au cours de laquelle le jeune héros va devoir récupérer l’intégralité de ses pouvoirs, avant de pouvoir affronter le terrible Garamoth.
Si le premier niveau autorise uniquement la transformation en chauve-souris (logique pour un vampire), on pourra progressivement mettre la main sur des projectiles plus puissants, des bombes, un parapluie (!), des tirs téléguidés ou même un pouvoir permettant d’inverser la gravité. Pour passer d’un pouvoir à l’autre, il suffit simplement de presser cette bonne vieille touche Select.
La mise en scène, elle, est assurée par des petites saynètes plutôt amusantes dans l’ensemble, avec une Mort plus mignonne que jamais, une réplique d’un certain Jason Voorhees (le tueur de Vendredi 13), des simili-Aliens et même une version revisitée de Frankenstein.
En ce qui concerne le gameplay, on retrouve ici un jeu d’action/plateforme dans la plus pure tradition des jeux Game Boy des années 1990.
Le jeu se révèle malgré tout relativement varié, avec tantôt des niveaux horizontaux classiques, tantôt des niveaux faisant la part belle à une certaine verticalité. Comme dans un Donkey Kong Country et ses séquences en chariot, on a même droit à quelques phases en plateformes mouvantes, plutôt intenses en émotions… Et en game over.
Graphiquement, Kid Dracula affiche des environnements très fins et détaillés (pour l’époque) profitant en prime d’une jolie variété, puisque huit niveaux assez différents attendent le joueur. Konami oblige, le jeu est bourré de petites références vidéoludiques et cinématographiques, avec quelques jolies surprises en arrière-plan.
Kid Dracula est donc un titre très original, doté de très bonnes références pour qui apprécie un peu le jeu vidéo et le cinéma d’horreur.
Comme nous l’évoquions, tout dans Kid Dracula est prétexte à la « mignonnerie la plus absolue ». En effet, notre petit héros n’est pas le seul à être mignon tout plein, il en va de même pour son acolyte, la Mort, mais aussi pour les différents ennemis rencontrés dans le jeu.
Il suffit par exemple de visualiser les premiers boss de niveaux pour tout saisir du côté décalé de cet épisode. De cette manière, Kid Dracula a su s’adapter aussi bien aux plus jeunes joueurs, qui ont adoré le côté mignon de l’ensemble, qu’aux plus anciens, qui profitaient de graphismes soignés et de quelques références indétectables pour les chères têtes blondes.
À l’instar d’un Super Mario Land, le jeu propose également de récolter des pièces, qui permettront de profiter de divers mini-jeux entre les différents niveaux. Ces derniers, vous vous en doutez, s’avèrent forcément très décalés, allant de la chasse aux chauve-souris, au pétage de ballons, en passant par un ersatz de Pic Pirate avec un squelette dans un tonneau ou encore un bon vieux Pierre/Feuille/Ciseaux.
Un jeu de hasard est également de la partie, avec la possibilité de miser sur le résultat, comme à Vegas. Tout cela permet évidemment de collecter de précieuses vies, qui seront particulièrement utiles à la toute fin du jeu… Car oui, « années 90 » obligent, si Kid Dracula est mignon tout plein, il est également d’une difficulté assez atroce parfois.
Lancé en 1990, Kid Dracula était alors exclusif au marché nippon. Or, le titre était particulièrement compliqué à jouer en version japonaise, puisque malgré un très net penchant pour la plateforme, Kid Dracula propose pas mal de textes. Pire encore, un des boss ne peut être battu qu’en répondant correctement… À un quizz !
Il faut savoir qu’à l’heure actuelle, Kid Dracula version Game Boy n’a fait l’objet d’aucune compilation, et que le jeu dans sa version d’origine est particulièrement rare.
La version Famicom en revanche, peut être trouvée au sein de la compilation Castlevania Collection, lancée il y a quelques mois. À noter que cette même compilation renferme également les trois Castlevania sur NES, les deux premiers opus sur Game Boy, sans oublier les épisodes Super Nintendo et Mega Drive.
Comme beaucoup de jeux d’époque, Kid Dracula (sur Game Boy comme sur Famicom) ne dispose pas d’une durée de vie phénoménale, puisque le jeu peut facilement se terminer en une petite heure une fois les pièges et les patterns des boss connus.
Toutefois, comme n’importe quelle production issue de cette époque bénie du jeu vidéo, l’intérêt était bien sûr de revivre l’aventure encore et encore, pour tenter de ne pas perdre la moindre vie, de mettre le moins de temps possible… Ou simplement par pur plaisir, comme on le faisait pour un Super Mario, un Sonic, un Streets of Rage ou un Mega Man.
La « belle époque » en somme, non ?